25 avril 2007
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Imaginez : ça, c'était la vue de ma chambre d'hôtel!
Mauvais tirage papier et scanner pas au top,
mais j'aime beaucoup cette photo quand-même. Je ne me
rappelle plus, mais j'avais du la prendre au prix d'une belle saucée.
mais j'aime beaucoup cette photo quand-même. Je ne me
rappelle plus, mais j'avais du la prendre au prix d'une belle saucée.
L'aube sur Montmartre (autre séjour, autre hôtel...)
Je n'allais pas faire un article sur Paris
sans une dame aux pigeons !
sans une dame aux pigeons !
Le jour où Gum est montée sur la tour Eiffel:
même pas peur !
Figurez vous que j'y suis née, à Paris, après trois générations de
têtes de chiens (sauf ma grand-mère maternelle, une chti
au sang belge), mais que je n'avais jamais mis les pieds sur
la fameuse tour avant ce jour là. J'étais devenue une touriste...
Et je me demandais si mes parents ou mes grands-parents y étaient
montés, sur la tour Eiffel, eux... Je parierais que non!
...Sont...bizarres (le terme d'origine a été auto-censuré)
ces parigots, quand-même! ;-):-D
même pas peur !
Figurez vous que j'y suis née, à Paris, après trois générations de
têtes de chiens (sauf ma grand-mère maternelle, une chti
au sang belge), mais que je n'avais jamais mis les pieds sur
la fameuse tour avant ce jour là. J'étais devenue une touriste...
Et je me demandais si mes parents ou mes grands-parents y étaient
montés, sur la tour Eiffel, eux... Je parierais que non!
...Sont...bizarres (le terme d'origine a été auto-censuré)
ces parigots, quand-même! ;-):-D
On se croirait à New York !...
Mais on n'y est pas!... Pas encore...
Et voilà que je repense à mémère Titine.
Quand je pense qu'elle traversait des champs de thym pour rentrer chez elle! Et mes autres grands-parents, qui parlaient de leur quartier, comme on aurait parlé d'un village : des arbres fruitiers, de la mercière, du troquet où les hommes se retrouvaient pour un 421 ou une belote.
C'était le temps où ils étaient jeunes, celui où les gens se connaissaient,
le temps des bals musette sur les bords de Marne. Il parait qu'on y mangeait de la friture d'éperlans...
.Et voilà que je repense à mémère Titine.
Quand je pense qu'elle traversait des champs de thym pour rentrer chez elle! Et mes autres grands-parents, qui parlaient de leur quartier, comme on aurait parlé d'un village : des arbres fruitiers, de la mercière, du troquet où les hommes se retrouvaient pour un 421 ou une belote.
C'était le temps où ils étaient jeunes, celui où les gens se connaissaient,
le temps des bals musette sur les bords de Marne. Il parait qu'on y mangeait de la friture d'éperlans...